LinkedIn ne sert plus qu'à recruter, mais aussi à vendre désormais.

Article paru dans Veille

Je peux faire ce constat au terme des 4 mois d'écriture d'articles sur cette plateforme, et je vais vous expliquer comment.

𝗟'𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗷'𝗮𝗶 𝗿𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́𝗲 :

Mes articles ont pour objectif de mettre en lumière les startups de la tech, jeunes ou moins jeunes, sur des projets à forte dynamique.

Je cite toujours mes sources et je tague le nom des entreprises ainsi que de leur fondateur ou CEO ou chargé de communication.

𝗟𝗲 𝘃𝗲𝗿𝗱𝗶𝗰𝘁, 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 :

💪 les jeunes pousses réagissent dans les deux heures aux alertes de leur tag par un like ou un commentaire sur le post qui les mentionne

👎 Les startups de plus de cinq ans réagissent rarement, les boites de plus de dix ans et les grands groupes quasiment jamais.

𝗔𝗻𝗮𝗹𝘆𝘀𝗲 :

Nous sommes dans une ère complexe pour la visibilité numérique, et LinkedIn semble le meilleur pari pour gagner en notoriété, plus rapidement que sur le web en tout cas.

Y faire son auto-promotion n'est pas très productif, et pour cause, les membres ne liront pratiquement jamais quelqu'un qui crie "Il est beau mon poisson" ici.

L'époque est à la consultation des avis, à défaut d'acheter à quelqu'un que vous connaissez, vous achèterez à quelqu'un qui est recommandé. Par un proche, ou par des inconnus d'ailleurs.

L'avis du tiers vaut donc mieux que le vôtre, vous l'avez déjà vécu lorsque ce consultant gommeux a convaincu votre boss sur un sujet que vous argumentiez pourtant depuis longtemps.

L'aubaine d'avoir quelqu'un qui parle de vous, est donc un tremplin de qualité, et les jeunes startups de la tech que j'ai pu mettre en lumière l'ont tout à fait intégré, en partageant, commentant ou likant le post où je les ai cités afin de lui donner de l'ampleur.

Ce faisant, leurs amis ou partenaires commerciaux soucieux de leur réussite et du maintien de leurs bonnes relations vont, eux aussi, aller interagir avec le post promotionnel.

Et c'est une incroyable boule de neige qui déferle alors sur LinkedIn.

En revanche, les entreprises installées qui ne font pas rédiger d'articles sur leur actualité, ou/et qui ne daignent pas réagir à une mention, se privent d'une opportunité efficace de se rappeler à la mémoire d'un public qui ne les voit plus dans le paysage.

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