Sur LinkedIn comme sur le web, l'enjeu de visibilité concentre tous les efforts de production de contenu.
Article paru dansPour le web, le SEO consiste à écrire des pages de telle façon à ce qu'elles soient bien référencées par les moteurs de recherche.
Cela suppose les prérequis suivants :
🎯 Le titre de la page doit être parlant et refléter le sujet traité dans son contenu.
🎯 La structure HTML de la page doit être propre et respecter la sémantique fonctionnelle des tags.
🎯 Le contenu de la page doit être suffisamment qualitatif pour que l'internaute reste et réduise ainsi le taux de rebond.
🎯 La page doit avoir un maillage interne efficace, c'est-à-dire des liens reliant chaque page traitant du même sujet entre elles.
🎯 Enfin, des liens vers vos pages doivent être disséminés dans d'autres sites du web. Les fameux backlinks.
Ces principes trouvent leur équivalent sur LinkedIn. Les voici :
⭐️ Les premières lignes doivent être accrocheuses et susciter l'intérêt du lecteur pour lui donner envie de lire la suite. C'est là l'équivalent du titre de la page web.
⭐️ Le contenu doit être intéressant et structuré afin de retenir le lecteur le plus longtemps possible. Le fameux dwell time est la définition miroir LinkedIn du taux de rebond web.
⭐️ Enfin, plus vous êtes likés, cité et commenté, plus vous êtes visibles dans les fils d'activités. Le Graal, équivalent des précieux backlinks en SEO.
Moralité.
Bien structurer ses posts, soigner ses accroches et écrire de façon à retenir le lecteur est bien une forme de SEO sur LinkedIn.
Pour l'équivalent du maillage et des backlinks, vous devez suivre deux axes :
💪 Quelqu'un fait la promotion de votre service, produit ou boite dans un de ses posts, gratuitement ou en payant.
→ Le sponsoring n'est plus à démontrer sur les RS.
💪 Vous entretenez un réseau d'ami dans des domaines voisins du vôtre qui likeront vos posts, et réciproquement, afin d'augmenter vos notoriétés.
→ Le cœur même du business intelligent en réseau.