Le protocole de TRON est nettement moins énergivore que celui de Bitcoin ou Ethereum

Article paru dans Blockchain Basics

TRON, fera-t-elle taire les débats sur la consommation électrique des blockchains en méritant son titre de blockchain verte.

Les échanges stériles sur les consommations électriques des blockchains comme BitCoin ou Ethereum divisent sans trop faire avancer le sujet.

En cause, l'argument de comparaison de la consommation qui fausse le jugement en utilisant des chiffres aussi variés que fantaisistes.

L'occasion nous est donnée ici de comparer des consommations électriques de trois blockchains, Bitcoin, Ethereum et TRON.

Si l'examen attentif des valeurs communiquées par l'article est affaire d'amateurs de derrière de mouches, c'est bien la relation d'ordre qui donne ici à réfléchir.

TRON est en effet annoncée comme la blockchain consommant beaucoup moins que ces grandes sœurs.

Le Proof of Work de Bitcoin est énergivore, et le Proof of Stake constitue aujourd'hui une alternative moins gourmande, mais décriée. Très décriée.

Le consensus de TRON est encore plus gentil avec nos watts/heures que le Proof Of Stake, il utilise Delegated Proof-of-Stake. Évocateur certes, mais aussi compétitif et rapide.

Mais c'est bon ça.

❓Ces consensus plus doux pour la planète sont-ils assez performants pour garantir la légendaire inviolabilité de la blockchain ?

❓ Quid de l'auto-régulation du système imaginé par Satoshi Nakamoto et conféré par la gourmande complexité de PoW ?

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